Laphase initiale commence par un chemin aléatoire entre les villes. Description du fichier: Le fichier est composé de 2 feuilles: DATA qui comporte: La matrice des distances inter villes nommée dynamiquement VILLES. L'intersection de la ligne i et de la colonne j donne la distance entre la ville i et la ville j.
Accueil > Outils > Distance Faites glisser le marqueur sur la carte pour calculer la distance km, m, mile, pied et l'angle de roulement de direction sur google map, entre deux points de la terre. Calcul de la vitesse moyenne ou le temps passĂ©. Haut de la page Contenu download PDF file La vitesse ou le temps Ă©coulĂ© dĂ©terminĂ© coo Acoo Bdistance Time hhmmss vitesse set time elapsed to get speed vitesseTime hhmmss set speed to get time elapsed Day + Time hhmmssvitesse set time in coo A set time in coo B Haut de la page Contenu download PDF file Contenu Format Calcul de la distance entre deux points gĂ©ographiques Calculation of direction between two geographical points Calculation of the destination point La vitesse ou le temps Ă©coulĂ© dĂ©terminĂ© Commentaire Haut de la page Contenu download PDF file Format Valeur gamme Valide valeur de la latitude sont de ° à ° pour la longitude sont de -180,0 ° Ă 180,0 ° , le signe + doit ĂȘtre supprimĂ©, tandis que le signe nâest pas nĂ©cessaire si il ya une composante radio pour sĂ©lectionner la direction NS ou WE licence et format dĂ©cimal. Decimal Il faut SĂ©lectionnez une direction NS ou WE et insĂ©rer un nombre de 0 Ă 90 pour la latitude ou de 0 Ă 180 pour la longitude par exemple degrĂ© DiplĂŽme format est conposed de direction N-S or W-E et trois sĂ©ries de chiffres sĂ©parĂ©s par les symboles des degrĂ©s °, minutes â, et BR seconde ". diplĂŽme est une valeur entiĂšre sans signe, 0 Ă 90 pour la latitude ou de 0 Ă 180 pour la longitude. minute est une valeur entiĂšre sans signe, de 0 Ă 59. secondes est une valeur sans signe double, de 0 ou Ă CoordonnĂ©es Le format des coordonnĂ©es est le suivant Latitude , Longitude, avec le signe moins - pour les latitudes sud et pour les longitudes ouest. Les 2 valeurs sont sĂ©parĂ©es par une virgule ,, voici quelques exemple Recherche sur la carte Cliquez sur recherche pour ouvrir la webpage de la Terre de coordonnĂ©es, ici vous obtenir la latitude et la longitude simplement en cliquant sur la carte, et mettre la valeur par le bouton Enregistrer. Haut de la page Contenu download PDF file Calcul de la distance entre deux points gĂ©ographiques La formule utilisĂ©e pour dĂ©terminer la distance la plus courte entre deux points sur le terrain gĂ©odĂ©sique, se rapproche du gĂ©oĂŻde Ă une sphĂšre de rayon R = km rayon moyen quadrique, de sorte que le calcul aurait pu une erreur de distance de 0,3%, en particulier dans les situations extrĂȘmes, et pour de longues distances par le biais de divers parallĂšles. Ătant donnĂ© deux points A et B sur la sphĂšre exprimĂ© par la latitude LAT et la longitude LON, vous devrez la distance A, B = R * arccos sin lata sin * LATB + cos lata cos * LATB cos * Lona-lonB Lâ angles utilisĂ©s sont exprimĂ©s en radians, la conversion entre les degrĂ©s et les radians est obtenue en multipliant lâangle par pi et en divisant par 180. Haut de la page Contenu download PDF file Calculation of direction between two geographical points To determine the direction from the starting point between two points on the earth, use the following formula ÎÏ = ln tan latB / 2 + Ï / 4 / tan latA / 2 + Ï / 4 Îlon = abs lonA - lonB roulement Ξ = atan2 Îlon , ÎÏ Note 1 ln = natural log 2 if Îlon > 180° then Îlon = Îlon mod 180. 3 operation a mod n 4 function atan2y, x 5 the angles are in radians Haut de la page Contenu download PDF file Calculation of the destination point To determine the destination point, knowing the starting point the direction Ξ and the distance d, we use the following formula latB = asin sin latA * cos d / R + cos latA * sin d / R * cos Ξ lonB = lonA + atan2sin Ξ * sin d / R * cos latA , cos d / R â sin latA * sin latB Note 1 function atan2y, x 2 the angles are in radians Haut de la page Contenu download PDF file La vitesse ou le temps Ă©coulĂ© dĂ©terminĂ© AprĂšs le calcul de la distance entre deux points, vous obtenez la vitesse si lâon sait le temps passĂ© Ă voyager dâun point A Ă B. Entrez le temps Ă©coulĂ© en format hhmmss, pour obtenir la vitesse moyenne. Si vous connaissez le point de fin, et la vitesse moyenne, vous pouvez obtenir le temps pour atteindre le point B. Vous pouvez entrer lâheure au point A et le point B pour obtenir la vitesse moyenne. Haut de la page Contenu download PDF file Commentaire Sâil est dĂ©tectĂ© bug inexactitudes, pour suggĂ©rer de nouvelles fonctionnalitĂ©s ou tout simplement exprimer votre opinion sur le site web ajouter un commentaire. Merci dâavance pour votre contribution pour amĂ©liorer ce site s'il vous plaĂźt corriger les traductions incorrectes. Haut de la page Contenu download PDF file
ARCHITECTURE & SOCIETE DĂ©finir l'architecture La grande diversitĂ© des dĂ©finitions de l'architecture, donnĂ©es depuis des siĂšcles par les architectes eux-mĂȘmes, reflĂšte la difficultĂ© de cerner cet art multiple comment trouver un dĂ©nominateur commun Ă tout ce qui est construit ? Au Ier siĂšcle av. l'architecte romain Vitruve dĂ©finit l'architecture par ses finalitĂ©s, qu'il tient pour ĂȘtre la soliditĂ©, l'utilitĂ© et l'Ă©lĂ©gance. Cette dĂ©finition, si elle n'Ă©puise pas le sujet, prend en compte la complexitĂ© de l'architecture, qui doit embrasser Ă la fois des aspects techniques fermetĂ©, sĂ©curitĂ© de la construction, fonctionnels destination, rĂ©ponse Ă un programme et esthĂ©tiques harmonie, Ă©quilibre, beautĂ©.Selon les civilisations, les Ă©poques, les courants stylistiques ou simplement la fantaisie des architectes, l'un ou l'autre de ces aspects se trouve XXe siĂšcle, Auguste Perret dĂ©clare L'architecture est l'art d'organiser l'espace, son moyen d'expression est la construction»; pour Le Corbusier, l'architecture est le jeu savant, correct et magnifique des volumes assemblĂ©s sous la lumiĂšre»; pour l'Allemand Ludwig Mies van der Rohe, l'architecture a Ă©crit l'histoire des Ăąges et leur a donnĂ© leurs noms. L'architecture est tributaire de son temps».Contrairement Ă un tableau, un Ă©difice ne peut pas ĂȘtre perçu dans sa totalitĂ© du premier coup d'oeil, en raison de sa complexitĂ© proportions, espaces intĂ©rieurs, espaces extĂ©rieurs, lignes de force, matiĂšres et ornements mĂ©ritent tous l'attention. Par ailleurs, l'Ă©difice doit ĂȘtre envisagĂ© en relation avec le site dans lequel il s'intĂšgre, et qu'il modifie. On ne peut regarder un bĂątiment comme une simple oeuvre d'art et nĂ©gliger la fonction Ă laquelle il est destinĂ©. Qu'elle soit utilitaire ou symbolique, celle-ci dĂ©termine bien souvent en grande partie les Ă©lĂ©ments dont il est constituĂ© les clochers ou les minarets, par exemple, signalent le lieu de culte, permettent aux cloches ou Ă la voix du muezzin de porter loin, et symbolisent l'Ă©lĂ©vation vers Dieu ; l'Ă©paisseur des murs d'un donjon et les fossĂ©s qui l'entourent ont une Ă©vidente fonction dĂ©fensive. Enfin, un Ă©difice se prĂ©sente rarement tel que l'a conçu un seul homme mainte cathĂ©drale est restĂ©e inachevĂ©e, aprĂšs une construction Ă©talĂ©e sur plusieurs siĂšcles et de constants remaniements ; la pyramide de Ieoh Ming Pei s'insĂšre dans l'hĂ©tĂ©roclite palais du Louvre, lui-mĂȘme fruit de constructions, dĂ©molitions et ajouts rapports de l'architecture et de la sociĂ©tĂ© L'architecture, art complexe aux dĂ©terminations multiples, est tributaire de nombreux composants du champ social, sur lesquels elle agit en retour. De tout temps, l'architecture a permis d'exprimer un pouvoir politique, depuis les imposants palais de l'Egypte antique, qui marquent la puissance du pharaon, jusqu'au fastueux chĂąteau de Versailles, qui assoit celle du Roi-Soleil. Elle peut aussi faire rĂ©fĂ©rence Ă un certain type de gouvernement le style nĂ©oclassique du Capitole, Ă Washington, construit au XIXe siĂšcle, renvoie Ă la dĂ©mocratie de l'AntiquitĂ©, tandis que son gigantisme impose la grandeur et la force des Ătats fĂ©dĂ©rĂ©s ; le style nĂ©ogothique du palais du Parlement de Londres, commencĂ© en 1840, est un rappel de la permanence de la monarchie dans le systĂšme parlementaire britannique ; de la mĂȘme façon, en France, le style troubadour» du XIXe siĂšcle contribue Ă lĂ©gitimer tant la Restauration que le Second Empire en les insĂ©rant dans une artificielle continuitĂ© historique. Les conditions Ă©conomiques et sociales agissent de façon comprĂ©hensible sur l'architecture. Ainsi, la Florence du XVe siĂšcle traduit la montĂ©e d'une nouvelle classe celle des banquiers et des marchands issus des grandes familles patriciennes c'est la pĂ©riode de la construction de grands palais palais MĂ©dicis, palais Strozzi, etc. Au XVIe siĂšcle, dans l'arriĂšre-pays vĂ©nitien, des terres jusqu'alors impropres Ă l'agriculture sont mises en valeur l'aristocratie vĂ©nitienne et vicentine s'y fait alors bĂątir les fameuses villas palladiennes» construites par l'architecte Palladio ou se rattachant Ă son style ; leur parfaite ordonnance jouant sur la symĂ©trie et leur gracieuse théùtralitĂ© se prĂȘtent Ă de brillantes rĂ©ceptions. De mĂȘme, la florissante aristocratie terrienne dispersĂ©e dans toute l'Angleterre des XVIIe et XVIIIe siĂšcles va faire construire de nombreux manoirs Ă l'architecture Ă©lĂ©gante. Au dĂ©but du XIXe siĂšcle, aux Etats-Unis, les planteurs du Sud manifestent leur rĂ©cente richesse en Ă©levant sur leurs grandes propriĂ©tĂ©s des demeures Ă la fois raffinĂ©es et cossues. Toujours aux Ătats-Unis, le gratte-ciel, qui multiplie l'espace Ă partir d'une parcelle de sol, joue comme symbole de la rentabilitĂ© de l'investissement ; il est Ă©galement emblĂ©matique, par l'augmentation constante de sa hauteur, de la concurrence effrĂ©nĂ©e entre les de style Art nouveau des hĂŽtels particuliers construits autour de 1900, par Victor Horta en Belgique et par Hector Guimard en France, exprime Ă la fois l'hĂ©gĂ©monie Ă©conomique de la bourgeoisie de la fin du XIXe et du dĂ©but du XXe siĂšcle et son dĂ©sir de trouver une esthĂ©tique qui lui soit propre. Si l'architecture tĂ©moigne frĂ©quemment des diffĂ©rences entre classes sociales, l'organisation de celles-ci est parfois Ă la base mĂȘme du type d'habitat, voire d'urbanisation. Ainsi, au XIXe siĂšcle, dans le nord de la France, les logements ouvriers s'organisent en corons, qui deviennent caractĂ©ristiques des rĂ©gions miniĂšres ; le plan du centre de Noisiel, en Seine-et-Marne, ville qui s'est dĂ©veloppĂ©e autour de la chocolaterie Menier, constitue une sorte de schĂ©ma des divisions sociales de cette citĂ©. Enfin, religion et architecture ne sont pas sans entretenir des liens Ă©troits. Le temple, l'Ă©glise, le lieu sacrĂ© sont dĂšs les origines le monument par excellence dans de nombreuses civilisations. Le rapport de l'homme au sacrĂ© s'est fait trĂšs tĂŽt par la dĂ©limitation d'un espace le sacré» s'opposant au profane», terme dont l'Ă©tymologie signifie devant le temple». Il faut attendre le dĂ©but de la laĂŻcisation de la sociĂ©tĂ© occidentale, qui intervient aux XVe et XVIe siĂšcles, pour que l'Ă©glise soit supplantĂ©e par d'autres monuments, comme le palais. Les matĂ©riaux, leur disponibilitĂ© dans une rĂ©gion et l'Ă©volution des connaissances techniques ont Ă l'Ă©vidence une influence dĂ©terminante sur l'architecture. Si le nord de la France construit en brique, faute de pierre, la Scandinavie, riche en forĂȘts, utilise largement le bois. Des audaces plastiques sont rendues possibles par la mise au point du bĂ©ton armĂ© au XXe siĂšcle ; nĂ©anmoins, on note gĂ©nĂ©ralement un temps de latence entre la dĂ©couverte d'une nouvelle technique et la modification des formes de l'architecture Ă Saqqarah, lieu de la premiĂšre pyramide Ă©gyptienne, certaines constructions en pierre ne sont encore que la transcription dans la pierre des formes d'une construction de roseau et d'argile. Le temple grec dorique archaĂŻque traduit lui aussi en pierre un assemblage d'Ă©lĂ©ments en bois. L'architecture du XIXe siĂšcle est une alternance de rejet et de promotion de nouvelles techniques, qui ne seront vraiment acceptĂ©es et mises en valeur qu'au XXe siĂšcle. C'est ainsi que l'on voit la fonte, matĂ©riau contemporain, coulĂ©e en colonnes dans les Ă©glises nĂ©ogothiques du XIXe siĂšcle. De la mĂȘme façon, Auguste Perret appliquera au bĂ©ton armĂ© un vocabulaire stylistique traditionnel. L'architecture n'a jamais connu, au cours de son histoire, de dĂ©termination mĂ©caniste par la architectes On sait bien plus de choses sur les Ă©difices anciens que sur ceux qui les ont dessinĂ©s et construits. Quelques noms d'architectes Ă©gyptiens, grecs et romains ont traversĂ© les siĂšcles, mais l'identitĂ© des grands bĂątisseurs de cathĂ©drales du Moyen Age est en majeure partie inconnue. Ils sont gĂ©nĂ©ralement dĂ©crits comme des maĂźtres maçons ; mais eux-mĂȘmes se considĂ©raient comme des architectes, et le signifiaient en dessinant un labyrinthe sur leur plaque funĂ©raire pour souligner leur filiation avec DĂ©dale la lĂ©gende le considĂšre comme le premier architecte du monde grec et le dessinateur du labyrinthe du Minotaure. Les noms des architectes commencent Ă ĂȘtre connus dans l'Italie de la Renaissance, aux XVe et XVIe siĂšcles. L'idĂ©e de l'architecte professionnel, ayant une formation et des diplĂŽmes, ne se fait jour qu'au XIXe siĂšcle. En 1819, Ă Paris, s'ouvrent des cours d'architecture Ă l'Ăcole des beaux-arts. En 1847 commence Ă se tenir un cours du soir Ă l'Architectural Association de Londres. Puis des cours d'architecture s'ouvrent au Massachusetts Institute of Technology, en 1868, et Ă l'universitĂ© de l'Illinois, en 1873. Jusqu'Ă la PremiĂšre Guerre mondiale, la plupart des architectes sont formĂ©s sur le tas» dans des agences d'architectes, et les gouvernements sont lents Ă dĂ©finir des diplĂŽmes d'Ătat aux Etats-Unis, l'Illinois fut le premier Ă le faire, en 1897 ; la Grande-Bretagne attendit jusqu'en 1931.L'Ă©tude de l'architecture C'est seulement lorsque l'hĂ©gĂ©monie des styles de l'AntiquitĂ© classique a commencĂ© Ă ĂȘtre remise en question, Ă la fin du XVIIIe siĂšcle, que les architectes, les historiens et les thĂ©oriciens se sont ouverts Ă la totalitĂ© de l'histoire architecturale. Ils se sont alors attachĂ©s Ă une observation minutieuse des styles architecturaux en soulignant particuliĂšrement les diffĂ©rences de dĂ©tails d'un pays Ă l'autre. Mais, Ă la fin du XIXe siĂšcle, un groupe d'historiens et de thĂ©oriciens de langue allemande, dont notamment Jakob Burckhardt, Sigfried Giedion, sir Nikolaus Pevsner et Heinrich Wölfflin, ont interprĂ©tĂ© l'architecture comme l'expression de l'esprit du temps» Zeitgeist. Cette approche dĂ©terministe de l'architecture a Ă©tĂ© appliquĂ©e Ă l'architecture moderne par Pevsner dans Sources de l'architecture moderne et du design 1936 et par Giedion dans Espace, temps, architecture 1942, deux ouvrages fondamentaux de l'historiographie contemporaine. Ces historiens retiennent avant tout de chaque pĂ©riode ses innovations ; l'architecture, par l'utilisation de nouvelles techniques et structures, se fait l'expression de l'Ă©popĂ©e de la modernitĂ©, du progrĂšs. C'est une histoire instrumentale, quasi militante de l'architecture, mise au service d'une sorte de vision hĂ©roĂŻque de l'architecture moderne. Mais elle laisse dans l'ombre tout ce qui n'entre pas dans ce repĂ©rage des innovations et escamote contradictions et piĂ©tinements. Cette façon d'interprĂ©ter l'architecture est radicalement remise en question depuis une vingtaine d'annĂ©es. L'Ă©tude historique actuelle cherche Ă montrer les Ă©lĂ©ments de continuitĂ© dans la production architecturale, et non plus les Ă©lĂ©ments de rupture que la vision moderniste en termes de Zeitgeist privilĂ©giait. Il s'agit aujourd'hui de retrouver le fil d'une tradition, et non de recenser systĂ©matiquement les innovations. L'interprĂ©tation de l'architecture n'est donc pas neutre ; elle renvoie Ă des prĂ©supposĂ©s idĂ©ologiques, qui recouvrent soit une histoire conçue comme une suite de ruptures, ce qui sous-entend qu'il est possible de faire table rase du passĂ© et qu'une rĂ©volution est possible, soit une histoire fondĂ©e sur l'idĂ©e d'une continuitĂ© et d'une tradition, au sens le plus complexe et le plus ouvert du terme.
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